Le temps a fait son oeuvre et maintenant, la majorité des australiens vivent près des côtes dans leurs mégapoles. Protégés de presque tous les dangers de la nature (serpents, araignées, chaleur extrême, manque d'eau), ils commencèrent à décrire tout endroit ou la nature règne par le terme "bush" et donc en australie, une randonnée en forêt devient un "bushwalk".
Après la Tasmanie qui m'avait laissé sur mon apétit en terme de randonnées, j'ai voulu me racheter en allant marcher avec d'autre compagnons (Nico, Laurence et Magalie) dans les Blue Mountains pendant 2 jours. Notre première idée était de coucher dans la forêt mais elle a vite été exclut par manque d'équipement. Malgré ça, on s'est choisi un itinéraire qui nous permettrait d'en voir le plus possible dans le peu de temps qu'on avait. Et donc, en 2 jours, nous avons marché pendant 15 heures près de falaises, dans des forêts tropicales et un canyon.
Notre premier arrêt était près du village de Blackheath. Un endroit moins fréquenté par les touristes justement parce que les marches sont longues et peu acessibles pour les automobiles.
On était entouré d'immense falaises ou coulaient des chutes d'eau résultat des récentes pluies.
Après quelques heures de marches, on est arrivé à un embranchement qui nous menait soit à notre point de départ ou qui continuait dans un circuit de 3 heures au travers d'un canyon. Le choix a été facile et nous sommes plongés dedans.
C'était ma première expérience dans une forêt tropicale (enfin ils appellent cela une forêt humide mais ça me donnait l'impression d'être une jungle, surtout après avoir vu mon premier serpent!)
La journée terminée, nous sommes allés mangés dans un petit restaurant thai et ensuite j'ai tout suite sombré dans un sommeil profond. Le lendemain, Magalie et Laurence étaient un peu trop racké pour refaire une randonnée aussi longue et je suis parti uniquement avec Nico. Encore une fois, on a pu apprécié des paysages incroyables, vraiment!
Au total, c'était un 8 heures de marche sans oublier un 15 minutes de course à la fin pour ne par rater notre train. J'était un peu courbaturé mais je recommencerais le même parcours n'importe quand.
jeudi 11 juin 2009
Bushwalking
Le term "bush" a une signification très particulière pour les australiens. Originalement, il était utilisé pour décrire les immenses surfaces désertiques du continent sur lesquelles ne poussent que quelques maigres buissons. Le "bush" était le terrain des vrais aventuriers: ces australiens endurcis qui n'ont peur de rien, qui arborent une peau dorée brûlée par le soleil et chapeau de cowboy, et qui se promènent solitairement à travers l'immensité du désert.
mardi 2 juin 2009
Road Trip Tasmanien - Part 3
Notre voyage en Tasmanie s'est poursuivi par la visite de l'ancienne prison à Port Arthur. L'histoire derrière cet endroit est assez comique: les colons australiens (lire: anciens criminels anglais) ne sachant plus quoi faire des récalcitrants imitèrent la mère patrie en envoyant ces criminels sur l'île de Tasmanie. Les habitants de Tasmanie n'était pas plus créatifs: à peine les prisonniers arrivés qu'ils décidèrent à leur tour d'envoyer les plus endurcis sur une île (Port Arthur) pour les réhabiliter.
Si seulement ça s'arrêtait là... même à Port Arthur, les dirigeants isolèrent les plus jeunes prisonniers sur une autre île a proximité (Point Puer). Au bras de l'état, un criminel, un vrai, pouvait faire Angleterre - Australie - Tasmanie - Port Arthur -Point Puer. En voilà une manière originales de se débarasser des problèmes!
Après cet arrêt, nous sommes retournés à la capitale Hobart pour rencontrer le cousin de Pauline. En bon Australien, il nous tout de suite invité à faire un BBQ. Au menu, saumon Tasmanien, steaks de kangourous et saucisses hot-dogs.
Pour ceux que ça intéresse, la viande de kangourou ressemble et goûte un peucomme de la viande de cheval. C'est pas mauvais du tout tant que la viande ne cuit pas trop. En plus, c'est très écolo de manger du kangourou... Ils produisent très peu de méthane, grandissent vite et on aide à réduire un problème de surpopulation.
On a ensuite consacré notre dernière journée à cajoler l'animal que l'on avait mangé la veille dans une ferme puis à faire l'ascension en voiture du Mont Wellington surplombant Hobart. La vue était géniale et c'était sur cette belle note que l'on terminait cette aventure en Tasmanie.
dimanche 17 mai 2009
Travaux sur le blogue!
Bon, je n'ai pas mis à jour le blogue pendant le dernier mois principalement par manque de temps. Noémie est arrivé il y a maintenant 3 semaines. Mes parents on fait un petit séjour un peu avant et ma session me demande de plus en plus de temps (parce que OUI je dois aussi étudier). J'essaie de rentabiliser mon temps au maximum et ce blogue en a souffert. Ah oui j'oubliais... mon ordinateur portable a aussi rendu l'âme avec toutes mes photos. Heureusement que j'avais un back-up sur une clef USB... euuhhh... en fait non... celle là, je l'ai perdu 2 semaines plus tôt.
J'ai énormément de choses à vous raconter mais pour ces raisons, elles devront attendre jusqu'au début de juin. J'enverrai un e-mail pour la reprise du blogue.
En attendant, je vous propose des adresses de autres blogues intéressants:
-celui du petit frère: http://qujingelbell.blogspot.com/
-et celui de Simon bellemare: http://steph-simon-asie.blogspot.com
J'ai énormément de choses à vous raconter mais pour ces raisons, elles devront attendre jusqu'au début de juin. J'enverrai un e-mail pour la reprise du blogue.
En attendant, je vous propose des adresses de autres blogues intéressants:
-celui du petit frère: http://qujingelbell.blogspot.com/
-et celui de Simon bellemare: http://steph-simon-asie.blogspot.com
jeudi 9 avril 2009
Road Trip Tasmanien! Part 2
Après avoir fait notre deuil de Strahan et dormi dans la belle ville de Queenstown, on a conduit jusqu'aux Cradle Mountains dans le Franklin-Gordon Wild Rivers National Park. Malheureusement, on s'est retrouvé dans d'épais nuages qui nous empêchaient de voir quoi que ce soit.
On a quand même grimper jusqu'au sommet d'une des montagnes avoisinantes à 1300m au dessus du niveau de la mer en espérant arriver au dessus des nuages. (le plateau ou on a stationné l'auto était à +1000m, donc c'était pas une si longue montée) Raté...
Notre prochaine étape était dans la deuxième plus grande de Tasmanie, c'est à dire Launceston. Rien de vraiment impressionant là-bas. L'auberge de jeunesse affilié à Hostelling International (les meilleurs habituellement) était pleine et on a du se trouver une alternative et c'est au deuxième étage d'un hotel irlandais que l'on a dormi. Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, mais ici tous les bars s'appellent des hotels pour une raison quelconque et tous ont des chambres dans les étages supérieurs. Alors traduit en québécois, on a bien dormi au deuxième étage d'un pub irlandais... va pour le sommeil réparateur.
Le lendemain, on s'est empressé de quitter la ville pour se diriger vers le village de Bicheno et le parc national de Freycinet. Après deux heures de routes sous la pluie, on traverse une autre petite chaîne de montagne et on arrive sur la côte. On y retrouve une magnifique plage de sable blanc complétement déserte et qui s'étend vers l'est et l'ouest jusqu'à l'horizon.
J'ai encore de la misère à croire la quantité de paysages différents que la Nature a réussi à squeezer dans cette toute petite île de Tasmanie. À chaque heure ou deux de route, on tombe sur quelque chose de diamétralement opposé à ce qu'on quitte. Avant d'arrêter à Bicheno connu surtout pour ses fameux pingouins qui se promène la nuit dans la ville, on a décidé de passer l'après-midi au parc national de Freycinet.
Une petite marche de 4-5 heures nous amenait sur une des 10 plus belles plages du monde: Wineglass beach. (bon, je sais que ces palmarès sont très valides, mais bon ils ont l'air de vraiment les prendre à coeur ici) Et pour tout vous dire, c'était pas méchant du tout comme endroit.
De retour à Bicheno vers 8h, on a eu la surprise d'apprendre que tous les restaurants sauf un avaient déjà fermés leur cuisine. Bien sûr, l'unique dépanneur était fermé aussi. On avait comme trop le choix. Le bon côté était que le resto avait vu sur la plage et sur les pingouins. Moi qui m'attendait à voir de gros manchots comme ceux du biodôme envahir la ville à la façon d'un film de série B comme "l'attaque des hommes-grenouilles". Je fus un peu déçu en les voyant. Il était à peine plus gros que mon poing fermé et avait peur de toute lumière. En fait, ça pouvait les rendre aveugles car ils ne sont pas capables de cligner des yeux. J'aime mieux les kangourous...
On a quand même grimper jusqu'au sommet d'une des montagnes avoisinantes à 1300m au dessus du niveau de la mer en espérant arriver au dessus des nuages. (le plateau ou on a stationné l'auto était à +1000m, donc c'était pas une si longue montée) Raté...
Notre prochaine étape était dans la deuxième plus grande de Tasmanie, c'est à dire Launceston. Rien de vraiment impressionant là-bas. L'auberge de jeunesse affilié à Hostelling International (les meilleurs habituellement) était pleine et on a du se trouver une alternative et c'est au deuxième étage d'un hotel irlandais que l'on a dormi. Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, mais ici tous les bars s'appellent des hotels pour une raison quelconque et tous ont des chambres dans les étages supérieurs. Alors traduit en québécois, on a bien dormi au deuxième étage d'un pub irlandais... va pour le sommeil réparateur.
Le lendemain, on s'est empressé de quitter la ville pour se diriger vers le village de Bicheno et le parc national de Freycinet. Après deux heures de routes sous la pluie, on traverse une autre petite chaîne de montagne et on arrive sur la côte. On y retrouve une magnifique plage de sable blanc complétement déserte et qui s'étend vers l'est et l'ouest jusqu'à l'horizon.
J'ai encore de la misère à croire la quantité de paysages différents que la Nature a réussi à squeezer dans cette toute petite île de Tasmanie. À chaque heure ou deux de route, on tombe sur quelque chose de diamétralement opposé à ce qu'on quitte. Avant d'arrêter à Bicheno connu surtout pour ses fameux pingouins qui se promène la nuit dans la ville, on a décidé de passer l'après-midi au parc national de Freycinet.
Une petite marche de 4-5 heures nous amenait sur une des 10 plus belles plages du monde: Wineglass beach. (bon, je sais que ces palmarès sont très valides, mais bon ils ont l'air de vraiment les prendre à coeur ici) Et pour tout vous dire, c'était pas méchant du tout comme endroit.
De retour à Bicheno vers 8h, on a eu la surprise d'apprendre que tous les restaurants sauf un avaient déjà fermés leur cuisine. Bien sûr, l'unique dépanneur était fermé aussi. On avait comme trop le choix. Le bon côté était que le resto avait vu sur la plage et sur les pingouins. Moi qui m'attendait à voir de gros manchots comme ceux du biodôme envahir la ville à la façon d'un film de série B comme "l'attaque des hommes-grenouilles". Je fus un peu déçu en les voyant. Il était à peine plus gros que mon poing fermé et avait peur de toute lumière. En fait, ça pouvait les rendre aveugles car ils ne sont pas capables de cligner des yeux. J'aime mieux les kangourous...
mercredi 8 avril 2009
Petite publicité pour Soul Travellers
Petite pause de blogue (remarquez que j'en fais pas mal ces dernier temps) pour faire de la publicité à mon vieil ami Séb. Avec son groupe de musique les Soul Travellers, il a enregistré quelques tounes dernièrement et on peut les écouter en ligne.
Je vous donne l'adresse de leur site : http://www.myspace.com/8soultravellers8. Vous devriez y jeter un coup d'oeil, ça vaut vraiment le coup.
Je vous donne l'adresse de leur site : http://www.myspace.com/8soultravellers8. Vous devriez y jeter un coup d'oeil, ça vaut vraiment le coup.
samedi 4 avril 2009
Road Trip Tasmanien! Part 1
Un road trip sans voiture, ca vaut pas grand chose. C'est donc avec empressement que nous sommes dirigé chez Hertz dès notre sortie de l'aéroport. On avait bien hâte de savoir dans quelle bolide on passerait une bonne partie de nos prochains jours et surtout s'il y avait assez de place pour ne pas se sentir trop coincé à 5. La chance nous a sourit et on a eu une upgrade (gratis bien entendu) pour une Toyota Aurion.
Je me suis donné le titre de co-pilote pour la première journée et donc c'est à gauche de notre chauffeur attitré Dennis que le voyage à commencé. "Reste sur la voie de gauche", "tourne court à gauche", "large à droite" que je répétais en prennant mon job à coeur et pour être certain de ne pas rencontrer personne. Au début, Dennis signalait chacun de nos tournants en faisant partir les wipers, c'était immanquable.
À bord de l'auto, on a devisé notre plan d'attaque: faire un tour complet de la Tasmanie en 4 jours dans le sens horaire. Voilà ce que ça ressemble sur une carte. Environ 1000 kilomètres de route pour traverser le pays e passant à travers d'incroyables parcs nationaux.
Notre premier arrêt était un parc national un peu au nord d'Hobart, le Mount Field National Park. On commence à marcher dans les sentiers puis on tombe dans une genre de forêt tropicale comme j'en avais jamais vu auparavant. (la photo ci-bas est mon arrière-plan en ce moment, je la trouve superbe)
C'était incroyable... une forêt d'eucalyptus géants et par géant, je parle d'arbres de plus de 60 mètres de haut et donc le plus grand faisait 80m (20+ étages). Les feux de forêts étant fréquents: de nombreux arbres ont été brulé et sont presque entièrement vides à l'intérieur mais ils se tiennent toujours debout et ont étonnament l'air en vie malgré tout.
On s'est rapidement aperçu qu'on avait pas quitté l'Australie quand on a appris sur un panneau que le parc habritait des "platipus" ou ornitorynthes. Saviez-vous qu'un platipus était vénimeux? Moi pas et comme avec toutes les bébittes habitant l'Australie, il fallait faire attention ou on mettait les pieds.
On est ensuite retourné à la voiture pour faire le reste du trajet vers Strahan avant que la noirceur arrive. Nos assurances ne nous permettant pas de conduire après la tombé de la nuit étant les grandes chances de frapper des animaux (Roos, wallabee, wombats ou diables) qui sont presque tous des animaux nocturnes.
En traversant le pays d'ouest en est, on passe d'un pays en quasi sécheresse à une immense forêt vierge qui est protéger héritage UNESCO. L'un est manque criant d'eau et l'autre reçoit plus de 2000 mm de pluie par année. C'est donc pour dire que le paysage changeait aux heures à notre plus grand plaisir. En plus, on a pu voir nos premiers kangourous vivants sur le bord de la route.
Pour Strahan, c'est fût râté. La nuit est arrivé avant. On a dû arrêter à la place dans la ville minière de Queenstown (2000 habitants), nommé selon le cousin Tasmanien de Pauline, au palmarès des villes les plus laides au monde, au deuxième rang en fait. Un village style Far West à la base d'une gigantesque montagne ou l'on ne retrouve presque plus de végétation à cause de la pollution des anciennes mines.
Sur la carte, c'était le nom le plus gros à l'est de la Tasmanie et pourtant, la ville semblait totalement morte. En fait, je crois que la ville survit uniquement sur les quelques touristes qui ne rendent pas jusqu'à Strahan.
Je me suis donné le titre de co-pilote pour la première journée et donc c'est à gauche de notre chauffeur attitré Dennis que le voyage à commencé. "Reste sur la voie de gauche", "tourne court à gauche", "large à droite" que je répétais en prennant mon job à coeur et pour être certain de ne pas rencontrer personne. Au début, Dennis signalait chacun de nos tournants en faisant partir les wipers, c'était immanquable.
À bord de l'auto, on a devisé notre plan d'attaque: faire un tour complet de la Tasmanie en 4 jours dans le sens horaire. Voilà ce que ça ressemble sur une carte. Environ 1000 kilomètres de route pour traverser le pays e passant à travers d'incroyables parcs nationaux.
Notre premier arrêt était un parc national un peu au nord d'Hobart, le Mount Field National Park. On commence à marcher dans les sentiers puis on tombe dans une genre de forêt tropicale comme j'en avais jamais vu auparavant. (la photo ci-bas est mon arrière-plan en ce moment, je la trouve superbe)
C'était incroyable... une forêt d'eucalyptus géants et par géant, je parle d'arbres de plus de 60 mètres de haut et donc le plus grand faisait 80m (20+ étages). Les feux de forêts étant fréquents: de nombreux arbres ont été brulé et sont presque entièrement vides à l'intérieur mais ils se tiennent toujours debout et ont étonnament l'air en vie malgré tout.
On s'est rapidement aperçu qu'on avait pas quitté l'Australie quand on a appris sur un panneau que le parc habritait des "platipus" ou ornitorynthes. Saviez-vous qu'un platipus était vénimeux? Moi pas et comme avec toutes les bébittes habitant l'Australie, il fallait faire attention ou on mettait les pieds.
On est ensuite retourné à la voiture pour faire le reste du trajet vers Strahan avant que la noirceur arrive. Nos assurances ne nous permettant pas de conduire après la tombé de la nuit étant les grandes chances de frapper des animaux (Roos, wallabee, wombats ou diables) qui sont presque tous des animaux nocturnes.
En traversant le pays d'ouest en est, on passe d'un pays en quasi sécheresse à une immense forêt vierge qui est protéger héritage UNESCO. L'un est manque criant d'eau et l'autre reçoit plus de 2000 mm de pluie par année. C'est donc pour dire que le paysage changeait aux heures à notre plus grand plaisir. En plus, on a pu voir nos premiers kangourous vivants sur le bord de la route.
Pour Strahan, c'est fût râté. La nuit est arrivé avant. On a dû arrêter à la place dans la ville minière de Queenstown (2000 habitants), nommé selon le cousin Tasmanien de Pauline, au palmarès des villes les plus laides au monde, au deuxième rang en fait. Un village style Far West à la base d'une gigantesque montagne ou l'on ne retrouve presque plus de végétation à cause de la pollution des anciennes mines.
Sur la carte, c'était le nom le plus gros à l'est de la Tasmanie et pourtant, la ville semblait totalement morte. En fait, je crois que la ville survit uniquement sur les quelques touristes qui ne rendent pas jusqu'à Strahan.
jeudi 26 mars 2009
À la recherche d'un chez soi (Part 2)
De retour du camp de surf, je me suis remis à la recherche d'un appartement. En même temps, je commençais mes premières activités du programme d'échange pour connaître ma nouvelle université et rencontrer les autres gens y faisant partis. En plus des rencontres pour organiser mes cours afin qu'ils soient tous approuvés à mon retour à Montréal, j'étais en surcharge de travail. (bien quoi? après 1 mois de voyage, c'était un choc!)
Après quelques autres journées à l'auberge de jeunesse et toujours pas d'appartement, j'ai laissé tomber mon idéal de logement. Oublions la commune avec tout plein d'australiens... et débutons la recherche d'autre option: une chambre dans un appartement tranquille et pas trop cher ou je ne passerais que mes nuits et mes soirées d'étude. Dès le lendemain, je trouvais un appartement avec 2 vietnamiennes (Linh et Yen) à 10 minutes à pied de mon école. Je vous avais dit que je reviendrais au Vietnam!
Avec ce problème de logement derrière moi, je pouvais me reconsacrer à l'Australie. Avec quatre nouveaux copains hollandais, on a décidé d'abandonner une partie de notre première semaine d'université pour aller visiter la Tasmanie.
Pourquoi la Tasmanie? Aucune idée... à cause du diable peut-être... ou les billets pas cher vers Hobart.... ou un moment de folie.... va pour la folie.
Ça ressemble à quoi la Tasmanie?
Après quelques autres journées à l'auberge de jeunesse et toujours pas d'appartement, j'ai laissé tomber mon idéal de logement. Oublions la commune avec tout plein d'australiens... et débutons la recherche d'autre option: une chambre dans un appartement tranquille et pas trop cher ou je ne passerais que mes nuits et mes soirées d'étude. Dès le lendemain, je trouvais un appartement avec 2 vietnamiennes (Linh et Yen) à 10 minutes à pied de mon école. Je vous avais dit que je reviendrais au Vietnam!
Avec ce problème de logement derrière moi, je pouvais me reconsacrer à l'Australie. Avec quatre nouveaux copains hollandais, on a décidé d'abandonner une partie de notre première semaine d'université pour aller visiter la Tasmanie.
Pourquoi la Tasmanie? Aucune idée... à cause du diable peut-être... ou les billets pas cher vers Hobart.... ou un moment de folie.... va pour la folie.
Ça ressemble à quoi la Tasmanie?
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