De retour du camp de surf, je me suis remis à la recherche d'un appartement. En même temps, je commençais mes premières activités du programme d'échange pour connaître ma nouvelle université et rencontrer les autres gens y faisant partis. En plus des rencontres pour organiser mes cours afin qu'ils soient tous approuvés à mon retour à Montréal, j'étais en surcharge de travail. (bien quoi? après 1 mois de voyage, c'était un choc!)
Après quelques autres journées à l'auberge de jeunesse et toujours pas d'appartement, j'ai laissé tomber mon idéal de logement. Oublions la commune avec tout plein d'australiens... et débutons la recherche d'autre option: une chambre dans un appartement tranquille et pas trop cher ou je ne passerais que mes nuits et mes soirées d'étude. Dès le lendemain, je trouvais un appartement avec 2 vietnamiennes (Linh et Yen) à 10 minutes à pied de mon école. Je vous avais dit que je reviendrais au Vietnam!
Avec ce problème de logement derrière moi, je pouvais me reconsacrer à l'Australie. Avec quatre nouveaux copains hollandais, on a décidé d'abandonner une partie de notre première semaine d'université pour aller visiter la Tasmanie.
Pourquoi la Tasmanie? Aucune idée... à cause du diable peut-être... ou les billets pas cher vers Hobart.... ou un moment de folie.... va pour la folie.
Ça ressemble à quoi la Tasmanie?
jeudi 26 mars 2009
dimanche 22 mars 2009
Camp de surf
Avec le camp de surf "Waves", on a vraiment commençé notre intégration à la culture australienne. On partait le vendredi soir en autobus pour ensuite passer deux nuits dans un parc national au nord de Sydney et deux journées à surfer près de Seals Rock.
"G'morning mate"... On s'est fait réveiller par un de nos instructeurs. Vêtements de plage, teint doré et cheveux blonds comme brûlés par le soleil, il était l'archétype du surfeur quoi. Bon, je me lève tranquillement, va rejoindre les autres dans la salle à manger et me rend compte qu'il n'était pas seul. Presque tous les instructeurs ont les cheveux blonds mi-longs et ressemblent au cliché que l'on se fait des surfeurs.
Premier essai ce matin. Les vagues dépassent facilement le mètre, ce qui devrait être bon pour nos débuts mais elles nous frappent souvent et irrégulièrement à cause d'un vent de face (le pire que l'on pouvait avoir selon nos profs). L'objectif de la première journée était d'apprendre à se lever dans le remous des vagues. Ce fût beaucoup plus difficile que prévu et ce n'est qu'à la toute fin que j'ai vraiment réussi et ce seulement 3-4 fois.
Pendant notre dîner, j'ai aussi eu ma première recontre avec la faune très bizarre de l'Australie: le goanna. C'est un gros lézard d'environ 1 mètre (mais qui peut aller chercher dans les 2 mètres), ce qui m'a fait dire qu'il est de la famille des dragons. Rien de très méchant par contre, il se promenait d'un pas assez relax entre nous les surfeurs alors que l'on faisait une petite sieste.
La deuxième journée a été de loin meilleure pour le surf. Cette fois-ci, on avait un vent de dos et donc le rythme d'arrivé des vagues était plus constant et les vagues plus lentes à tomber. Cette fois, j'ai vraiment pu me lever sur la planche en quelques occasions et commencé à vraiment apprécier ce sport. Si ce n'était de mes épaules qui ne sont toujours pas à 100%, j'aurais considéré l'achat d'une planche de seconde main pour la session.
Nager contre les vagues, rouler sur le dos et se protéger avec la planche quand elle frappe pour ne pas se faire emporter, attendre "sa" vague, prendre son élan pour l'attraper et commencer des tonneaux dans l'eau parce que j'ai choisi une trop grosse pour mon talent. J'ai vraiment adoré!
"G'morning mate"... On s'est fait réveiller par un de nos instructeurs. Vêtements de plage, teint doré et cheveux blonds comme brûlés par le soleil, il était l'archétype du surfeur quoi. Bon, je me lève tranquillement, va rejoindre les autres dans la salle à manger et me rend compte qu'il n'était pas seul. Presque tous les instructeurs ont les cheveux blonds mi-longs et ressemblent au cliché que l'on se fait des surfeurs.
Premier essai ce matin. Les vagues dépassent facilement le mètre, ce qui devrait être bon pour nos débuts mais elles nous frappent souvent et irrégulièrement à cause d'un vent de face (le pire que l'on pouvait avoir selon nos profs). L'objectif de la première journée était d'apprendre à se lever dans le remous des vagues. Ce fût beaucoup plus difficile que prévu et ce n'est qu'à la toute fin que j'ai vraiment réussi et ce seulement 3-4 fois.
Pendant notre dîner, j'ai aussi eu ma première recontre avec la faune très bizarre de l'Australie: le goanna. C'est un gros lézard d'environ 1 mètre (mais qui peut aller chercher dans les 2 mètres), ce qui m'a fait dire qu'il est de la famille des dragons. Rien de très méchant par contre, il se promenait d'un pas assez relax entre nous les surfeurs alors que l'on faisait une petite sieste.
La deuxième journée a été de loin meilleure pour le surf. Cette fois-ci, on avait un vent de dos et donc le rythme d'arrivé des vagues était plus constant et les vagues plus lentes à tomber. Cette fois, j'ai vraiment pu me lever sur la planche en quelques occasions et commencé à vraiment apprécier ce sport. Si ce n'était de mes épaules qui ne sont toujours pas à 100%, j'aurais considéré l'achat d'une planche de seconde main pour la session.
Nager contre les vagues, rouler sur le dos et se protéger avec la planche quand elle frappe pour ne pas se faire emporter, attendre "sa" vague, prendre son élan pour l'attraper et commencer des tonneaux dans l'eau parce que j'ai choisi une trop grosse pour mon talent. J'ai vraiment adoré!
lundi 16 mars 2009
À la recherche d'un chez-soi
Ça devait être simple à mon arrivé à Sydney: je m'installerais dans une auberge de jeunesse, appelerait Nicolas et Laurence, leur raconterait et écouterait quelques histoire de voyage puis on commençerait sans plus d'attente à chercher un appartement pour ensuite pouvoir profiter de la ville.
Avant de poursuivre, il faut vous dire que les loyers à Sydney sont extraordinairement élevés. En général, pour l'équivalent de ce que je payerais à Montréal en 1 mois, ici on doit le payer par semaine. Par exemple, un appartement au centre-ville avec 8 personnes (4 par chambre) coûterait 150-250$ par semaine. À Bondi Beach, un autre endroit bien en vue, 250$ par semaine pour une chambre partagée avec une autre personne.
En regardant la carte de la ville, on avait choisi quelques quatiers situés entre nos 3 universités (parce qu'aucun de nous va à la même) comme "Surry Hills", "Chippendale", "Kensington" et "Redfern". Après quelques recherches, nous sont allés visiter un appartement à "Redfern" qui ne coûtait que 450$ par semaine divisé en trois. L'appartement était assez grand, avait accès à piscine, Gym, court de tennis, bbq et terrasse sur le toit, en plus d'un IGA (eh oui, même ici) et marchés frais à moins de 2 mins de marche. Même le centre-ville était étonnament proche (15 min)
Dès notre sortie de la visite, on était convaincu que c'était une perle et qu'on ne trouverait rien de mieux dans le court lapse de temps qu'on se donnait pour trouver un apart. Trop beau pour être vrai non?
On a donc commencé à faire des plans pour profiter de Sydney. Week-end de surf à Seals Rock, excursion en traversier jusqu'à la plage de Manly. Visite des environs de la baie de Sydney avec bien sûr sa fameuse Opéra.
Deux jours plus tards, on apprenait que "Redfern" était un des quartiers mal fâmé de Sydney, le quartier des aborigènes... (j'avais entendu parler qu'ils ne s'enduraient pas entre australiens et aborigènes, étonnant non?) "Redfern est le quartier qui a la moins bonne réputation auprès de la population qui le compare allégrement au Bronx à NY. Bon, je voyais bien l'exagération... mais on a même eu le dean de l'université à Laurence qui l'a pris à part pour lui conseiller de quitter le quartier au plus vite. Donc, c'était râté. On a refusé l'offre et on devait se remettre devant nos ordis pour chercher. Un peu frustré de la tournure des évènements, il fallait se changer les idées et c'est pourquoi on a quand même décidé de partir en week-end de surf à Seals Rock.
Avant de poursuivre, il faut vous dire que les loyers à Sydney sont extraordinairement élevés. En général, pour l'équivalent de ce que je payerais à Montréal en 1 mois, ici on doit le payer par semaine. Par exemple, un appartement au centre-ville avec 8 personnes (4 par chambre) coûterait 150-250$ par semaine. À Bondi Beach, un autre endroit bien en vue, 250$ par semaine pour une chambre partagée avec une autre personne.
En regardant la carte de la ville, on avait choisi quelques quatiers situés entre nos 3 universités (parce qu'aucun de nous va à la même) comme "Surry Hills", "Chippendale", "Kensington" et "Redfern". Après quelques recherches, nous sont allés visiter un appartement à "Redfern" qui ne coûtait que 450$ par semaine divisé en trois. L'appartement était assez grand, avait accès à piscine, Gym, court de tennis, bbq et terrasse sur le toit, en plus d'un IGA (eh oui, même ici) et marchés frais à moins de 2 mins de marche. Même le centre-ville était étonnament proche (15 min)
Dès notre sortie de la visite, on était convaincu que c'était une perle et qu'on ne trouverait rien de mieux dans le court lapse de temps qu'on se donnait pour trouver un apart. Trop beau pour être vrai non?
On a donc commencé à faire des plans pour profiter de Sydney. Week-end de surf à Seals Rock, excursion en traversier jusqu'à la plage de Manly. Visite des environs de la baie de Sydney avec bien sûr sa fameuse Opéra.
Deux jours plus tards, on apprenait que "Redfern" était un des quartiers mal fâmé de Sydney, le quartier des aborigènes... (j'avais entendu parler qu'ils ne s'enduraient pas entre australiens et aborigènes, étonnant non?) "Redfern est le quartier qui a la moins bonne réputation auprès de la population qui le compare allégrement au Bronx à NY. Bon, je voyais bien l'exagération... mais on a même eu le dean de l'université à Laurence qui l'a pris à part pour lui conseiller de quitter le quartier au plus vite. Donc, c'était râté. On a refusé l'offre et on devait se remettre devant nos ordis pour chercher. Un peu frustré de la tournure des évènements, il fallait se changer les idées et c'est pourquoi on a quand même décidé de partir en week-end de surf à Seals Rock.
Fin de l'aventure asiatique
Voilà. Mon aventure en sol asiatique a véritablement pris fin avec le Full Moon.
Bien que je suis resté encore 3 jours en Thailande et 1 autre à Hong Kong lors de mon transit vers l'Australie, j'avais retrouvé les sentiments d'impatience et d'excitation que j'avais avant de partir de Montréal. Ce n'était plus quelques jours en Asie mais bien quelques jours à attendre le départ vers Sydney.
J'en ai quand même profité pour faire le plein de soleil, finir mon livre (que j'avais à peine touché auparavant) et écrire quelques chroniques qui comme vous l'avez sûrement remarqué sont un peu en retard sur le moment qu'elles décrivent.
J'attendais aussi la fin de l'Asie pour changer la façon donc j'allais vous donner des nouvelles. J'arrête le système de chroniques journalières qui m'empêche d'être à jour et en commence un autre qui suivra mes voyages à travers l'Australie un peu moins rigoureusement.
Bien que je suis resté encore 3 jours en Thailande et 1 autre à Hong Kong lors de mon transit vers l'Australie, j'avais retrouvé les sentiments d'impatience et d'excitation que j'avais avant de partir de Montréal. Ce n'était plus quelques jours en Asie mais bien quelques jours à attendre le départ vers Sydney.
J'en ai quand même profité pour faire le plein de soleil, finir mon livre (que j'avais à peine touché auparavant) et écrire quelques chroniques qui comme vous l'avez sûrement remarqué sont un peu en retard sur le moment qu'elles décrivent.
J'attendais aussi la fin de l'Asie pour changer la façon donc j'allais vous donner des nouvelles. J'arrête le système de chroniques journalières qui m'empêche d'être à jour et en commence un autre qui suivra mes voyages à travers l'Australie un peu moins rigoureusement.
dimanche 15 mars 2009
Jour 30: Full Moon!
La nuit du "Full Moon" était une étape importante de notre voyage. Lors de l'organisation, c'était le moment que l'on avait choisi pour sonner la fin de notre périple. Du moins dans nos têtes parce que sur papier, il nous restait encore quelques journées avant de partir pour l'Australie.
Vers 11h00 du soir, après une sieste bien mérité, on a commencé nos préparatifs pour le Full Moon. On ne pouvait affronter cet évênement sans des peintures de guerre appropriées. Le problème par contre était de trouver le peintre...
On s'est débrouillé comme on pouvait et on a même pu découvrir les talents de Dan en dessin. Son requin était toute qu'une oeuvre d'art. Portant fièrement nos peintures fulorescentes, on a suivi le son de la musique jusqu'à la plage de Haad Rin.
Sur un kilomètre de plage, on avait le choix entre dix différents DJ et donc 10 types de musique différente qui allaient du House au Techno en passant par le Trance. Bon, je dois avouer que ce n'est pas ma musique préférée et c'est d'ailleurs pourquoi on s'est promené d'un endroit à l'autre toute la soirée.
La fête était beaucoup plus intéressante à regarder qu'à en faire parti. Des gens s'endorment sur la plage alors qu'autour d'eux dansent des dizaines de personnes et que la basse est assez forte pour faire trembler le sol. D'autres allument des feux d'artifices (toujours à côté de ceux endormis) et essaient tant bien que mal de bien les diriger vers le ciel. La plupart danse sans se préoccuper de grand chose sauf de se nourrir de temps en temps.
La soirée fût bien divertissante, pas autant que je l'aurais tot d'abord crû, mais l'on avait entendu tellement d'histoires à propos de cette soirée que c'était difficile de vraiment se laisser aller. Au final, c'est une expérience très intéressante mais ce n'est pas le genre qu'on recommence à chaque année et une fois est assez. (heureusement d'ailleurs parce que c'est un peu loin la Thailande)
Vers 11h00 du soir, après une sieste bien mérité, on a commencé nos préparatifs pour le Full Moon. On ne pouvait affronter cet évênement sans des peintures de guerre appropriées. Le problème par contre était de trouver le peintre...
On s'est débrouillé comme on pouvait et on a même pu découvrir les talents de Dan en dessin. Son requin était toute qu'une oeuvre d'art. Portant fièrement nos peintures fulorescentes, on a suivi le son de la musique jusqu'à la plage de Haad Rin.
Sur un kilomètre de plage, on avait le choix entre dix différents DJ et donc 10 types de musique différente qui allaient du House au Techno en passant par le Trance. Bon, je dois avouer que ce n'est pas ma musique préférée et c'est d'ailleurs pourquoi on s'est promené d'un endroit à l'autre toute la soirée.
La fête était beaucoup plus intéressante à regarder qu'à en faire parti. Des gens s'endorment sur la plage alors qu'autour d'eux dansent des dizaines de personnes et que la basse est assez forte pour faire trembler le sol. D'autres allument des feux d'artifices (toujours à côté de ceux endormis) et essaient tant bien que mal de bien les diriger vers le ciel. La plupart danse sans se préoccuper de grand chose sauf de se nourrir de temps en temps.
La soirée fût bien divertissante, pas autant que je l'aurais tot d'abord crû, mais l'on avait entendu tellement d'histoires à propos de cette soirée que c'était difficile de vraiment se laisser aller. Au final, c'est une expérience très intéressante mais ce n'est pas le genre qu'on recommence à chaque année et une fois est assez. (heureusement d'ailleurs parce que c'est un peu loin la Thailande)
dimanche 8 mars 2009
Jour 29: C'est bien mieux sous l'eau
On a passé la journée dans l'eau à regarder la vie aquatique près de l'île tropicale de Koh Tao. Merci à Sara et à sa caméra qui pouvait aller sous l'eau, on a pu prendre des photos magnifiques de notre excursion.
J'étais peu confiant de nager sans veste de sauvetage avec mes épaules qui ne sont pas à leur 100%.
Je l'ai enlevé quand même assez rapidement pour me permettre de plongé et m'approcher de ces coraux et de tous ces poissons exceptionnels que je découvrais.
Je n'avais jamais fais de snorkeling avant et ce fût une expérience inoubliable. Ça me donne le goût d'apprendre la plongée sous-marine pour mieux voir la grande barrière de corail à mon arrivée en Australie.
Maintenant il faut que je fasse une sieste. C'est la pleine lune cette nuit et je vais devoir être en forme.
J'étais peu confiant de nager sans veste de sauvetage avec mes épaules qui ne sont pas à leur 100%.
Je l'ai enlevé quand même assez rapidement pour me permettre de plongé et m'approcher de ces coraux et de tous ces poissons exceptionnels que je découvrais.
Je n'avais jamais fais de snorkeling avant et ce fût une expérience inoubliable. Ça me donne le goût d'apprendre la plongée sous-marine pour mieux voir la grande barrière de corail à mon arrivée en Australie.
Maintenant il faut que je fasse une sieste. C'est la pleine lune cette nuit et je vais devoir être en forme.
Jour 28: Les vertus du Tiger Balm
La nouvelle année chinoise ne me va vraiment pas. J'aurais peut-être dû donner de l'argent au temple en fin de compte pour m'assurer d'un minimum de chance. Je me suis levé ce matin avec des boutons rouges partout sur le corps et concentrés surtout au niveau des pieds. Je vous épargne la photo, c'est pas très classe.
Je vais faire un tour à la "clinique" où je me fais dire de ne pas être inquiet par le Thai qui parle anglais. (j'allais pas lui donner le titre de docteur quand même)
Bon, ça pourrait être pire... mais maudit que ça gratte! Il me fallait trouver le meilleur remède à cette démangeaison. Rien ne bat avoir les 2 pieds dans l'eau salée mais je pouvais pas passer la journée les pieds dans l'eau. C'est à ce moment qu'intervient le Tiger Balm, cette fameuse crème qui chauffe et qu'on utilise dans les chambres de hockey pour apaiser les mals musculaires. Voilà le truc: la crème chauffe tellement qu'on ne sent même plus les démangeaisons. Ça marche comme un charme.
Une fois ce petit épisode terminé (en fait... pas vraiment puisque ça va me gratter pour les 2 prochaines semaines), nous sommes allés se trouver un coin tranquille sur une des plages de l'île.
Je dois avouer que dès que la foule disparaissait, le paysage redevenait à l'image des cartes postales.
On a fini notre journée de plage en regardant le soleil se coucher au Esco"Bar". Je vous reviens demain pour notre excursion de plongée.
Je vais faire un tour à la "clinique" où je me fais dire de ne pas être inquiet par le Thai qui parle anglais. (j'allais pas lui donner le titre de docteur quand même)
Bon, ça pourrait être pire... mais maudit que ça gratte! Il me fallait trouver le meilleur remède à cette démangeaison. Rien ne bat avoir les 2 pieds dans l'eau salée mais je pouvais pas passer la journée les pieds dans l'eau. C'est à ce moment qu'intervient le Tiger Balm, cette fameuse crème qui chauffe et qu'on utilise dans les chambres de hockey pour apaiser les mals musculaires. Voilà le truc: la crème chauffe tellement qu'on ne sent même plus les démangeaisons. Ça marche comme un charme.
Une fois ce petit épisode terminé (en fait... pas vraiment puisque ça va me gratter pour les 2 prochaines semaines), nous sommes allés se trouver un coin tranquille sur une des plages de l'île.
Je dois avouer que dès que la foule disparaissait, le paysage redevenait à l'image des cartes postales.
On a fini notre journée de plage en regardant le soleil se coucher au Esco"Bar". Je vous reviens demain pour notre excursion de plongée.
dimanche 1 mars 2009
Jour 27: Ko Pha Ngan, en préparation du Full Moon Party
Ce matin, on se lève de bonne heure (5h15) pour s'envoler vers Koh Samui, une île dans le sud de la Thailande, à bord d'un coloré avion de Bangkok Airways. À notre arrivé au caroussel des baggages, la malchance me frappe encore. Mes baggages ont sauté dans le mauvais avion et sont partis vers Phuket.
Pourtant, mon sac a tout d'un sac normal, non? Perdre des baggages dans un vol domestique sans transit, c'est pousser un peu fort.
Après ce petit contre-temps, on embarque sur un bateau pour Koh Pha Ngan. On peut facilement compter entre 2 et 3 fois le nombre maximum de passagers que le bateau peut légalement transporter. Tous des touristes bien sûr. J'avais l'impression d'être sur un bateau d'immigrants clandestins qui attendent patiemment leur arrivé sur la terre promise.
Koh Pha Ngan a tout de l'île paradisiaque sauf le fait d'avoir des occupants tranquilles. À chaque pleine lune, l'île se remplit tranquillement de 10 000 à 25 000 backpackers qui ont entendu l'appel d'un des plus gros beach party du monde. Cette réputation est telle que les hôtels sur l'île n'ont aucune difficulté à remplir leurs chambres à des prix occidentaux et en demandant un minimum de 5 nuits. C'est donc pourquoi on va aussi passer les 5 prochaines journées sur cette île.
On attendait de la grande visite en soirée: Sara, une amie de McGill en échange à Singapoure venait nous rejoindre pour faire la fête. Et c'est ce qu'on a fait en suivant bien sûr une des traditions du Full Moon, c'est à dire de boire dans des sceaux de plastique (pour éviter trop de bouteilles cassées)
On a vite découvert que ce n'était pas la seule tradition dans cette île. Se couvrir le corps de peinture fluorescente en était une autre intéressante.
Mais, la palme revient au saut à la corde. J'aurais pu continuer un bon moment si seulement Dan avait pas fait tout raté. (Grrrr Dan!!)
Pourtant, mon sac a tout d'un sac normal, non? Perdre des baggages dans un vol domestique sans transit, c'est pousser un peu fort.
Après ce petit contre-temps, on embarque sur un bateau pour Koh Pha Ngan. On peut facilement compter entre 2 et 3 fois le nombre maximum de passagers que le bateau peut légalement transporter. Tous des touristes bien sûr. J'avais l'impression d'être sur un bateau d'immigrants clandestins qui attendent patiemment leur arrivé sur la terre promise.
Koh Pha Ngan a tout de l'île paradisiaque sauf le fait d'avoir des occupants tranquilles. À chaque pleine lune, l'île se remplit tranquillement de 10 000 à 25 000 backpackers qui ont entendu l'appel d'un des plus gros beach party du monde. Cette réputation est telle que les hôtels sur l'île n'ont aucune difficulté à remplir leurs chambres à des prix occidentaux et en demandant un minimum de 5 nuits. C'est donc pourquoi on va aussi passer les 5 prochaines journées sur cette île.
On attendait de la grande visite en soirée: Sara, une amie de McGill en échange à Singapoure venait nous rejoindre pour faire la fête. Et c'est ce qu'on a fait en suivant bien sûr une des traditions du Full Moon, c'est à dire de boire dans des sceaux de plastique (pour éviter trop de bouteilles cassées)
On a vite découvert que ce n'était pas la seule tradition dans cette île. Se couvrir le corps de peinture fluorescente en était une autre intéressante.
Mais, la palme revient au saut à la corde. J'aurais pu continuer un bon moment si seulement Dan avait pas fait tout raté. (Grrrr Dan!!)
Jour 26: "Chatuchak Weekend Market"
Samedi aujourd'hui. On attendait ce moment avec impatience pour aller au "Chatuchak weekend Market" aussi nommé "GG's market" par les thais. Ce marché extérieur est l'un des plus grands au monde: plus de 7000 magasins sur une superficie d'un peu plus d'un kilomètre carré.
En fait, on conseille aux touristes de s'amener une carte du marché pour pouvoir s'y retrouver. On y retrouve n'importe quoi ici: des antiquités, vêtements de hippies, vêtements de rockers, vêtements de surfer, t-shirts comiques, surplus d'armé, bijoux, statues, électronique, nourriture, tortues géantes, poissons tropicaux, requins, raies, perroquets, perruches, coqs de combat ou combat de coqs. En fait, la liste peut se poursuivre encore très longtemps.
Le plus incroyable dans tout ça est qu'on ne retrouve que très rarement le même stock dans deux magasins. Donc, si on trouve quelque chose de notre goût, il faut sauter dessus parce qu'il n'est pas dit qu'on peut retrouver le magasin plus tard dans la journée.
En soirée, nous sommes allés sur Khao San, l'avenue des backpackers, pour aller manger. On m'avait dit qu'on pourrait s'y trouver un plat d'insectes frits, une spécialité locale.
Bon, c'était pas si mauvais mais on a quand même du boire une bière tout suite après pour faire passer le tout. En fait, c'est le goût de la carapace qui reste longtemps dans la bouche.
En fait, on conseille aux touristes de s'amener une carte du marché pour pouvoir s'y retrouver. On y retrouve n'importe quoi ici: des antiquités, vêtements de hippies, vêtements de rockers, vêtements de surfer, t-shirts comiques, surplus d'armé, bijoux, statues, électronique, nourriture, tortues géantes, poissons tropicaux, requins, raies, perroquets, perruches, coqs de combat ou combat de coqs. En fait, la liste peut se poursuivre encore très longtemps.
Le plus incroyable dans tout ça est qu'on ne retrouve que très rarement le même stock dans deux magasins. Donc, si on trouve quelque chose de notre goût, il faut sauter dessus parce qu'il n'est pas dit qu'on peut retrouver le magasin plus tard dans la journée.
En soirée, nous sommes allés sur Khao San, l'avenue des backpackers, pour aller manger. On m'avait dit qu'on pourrait s'y trouver un plat d'insectes frits, une spécialité locale.
Bon, c'était pas si mauvais mais on a quand même du boire une bière tout suite après pour faire passer le tout. En fait, c'est le goût de la carapace qui reste longtemps dans la bouche.
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