Le temps a fait son oeuvre et maintenant, la majorité des australiens vivent près des côtes dans leurs mégapoles. Protégés de presque tous les dangers de la nature (serpents, araignées, chaleur extrême, manque d'eau), ils commencèrent à décrire tout endroit ou la nature règne par le terme "bush" et donc en australie, une randonnée en forêt devient un "bushwalk".
Après la Tasmanie qui m'avait laissé sur mon apétit en terme de randonnées, j'ai voulu me racheter en allant marcher avec d'autre compagnons (Nico, Laurence et Magalie) dans les Blue Mountains pendant 2 jours. Notre première idée était de coucher dans la forêt mais elle a vite été exclut par manque d'équipement. Malgré ça, on s'est choisi un itinéraire qui nous permettrait d'en voir le plus possible dans le peu de temps qu'on avait. Et donc, en 2 jours, nous avons marché pendant 15 heures près de falaises, dans des forêts tropicales et un canyon.
Notre premier arrêt était près du village de Blackheath. Un endroit moins fréquenté par les touristes justement parce que les marches sont longues et peu acessibles pour les automobiles.
On était entouré d'immense falaises ou coulaient des chutes d'eau résultat des récentes pluies.
Après quelques heures de marches, on est arrivé à un embranchement qui nous menait soit à notre point de départ ou qui continuait dans un circuit de 3 heures au travers d'un canyon. Le choix a été facile et nous sommes plongés dedans.
C'était ma première expérience dans une forêt tropicale (enfin ils appellent cela une forêt humide mais ça me donnait l'impression d'être une jungle, surtout après avoir vu mon premier serpent!)
La journée terminée, nous sommes allés mangés dans un petit restaurant thai et ensuite j'ai tout suite sombré dans un sommeil profond. Le lendemain, Magalie et Laurence étaient un peu trop racké pour refaire une randonnée aussi longue et je suis parti uniquement avec Nico. Encore une fois, on a pu apprécié des paysages incroyables, vraiment!
Au total, c'était un 8 heures de marche sans oublier un 15 minutes de course à la fin pour ne par rater notre train. J'était un peu courbaturé mais je recommencerais le même parcours n'importe quand.
jeudi 11 juin 2009
Bushwalking
Le term "bush" a une signification très particulière pour les australiens. Originalement, il était utilisé pour décrire les immenses surfaces désertiques du continent sur lesquelles ne poussent que quelques maigres buissons. Le "bush" était le terrain des vrais aventuriers: ces australiens endurcis qui n'ont peur de rien, qui arborent une peau dorée brûlée par le soleil et chapeau de cowboy, et qui se promènent solitairement à travers l'immensité du désert.
mardi 2 juin 2009
Road Trip Tasmanien - Part 3
Notre voyage en Tasmanie s'est poursuivi par la visite de l'ancienne prison à Port Arthur. L'histoire derrière cet endroit est assez comique: les colons australiens (lire: anciens criminels anglais) ne sachant plus quoi faire des récalcitrants imitèrent la mère patrie en envoyant ces criminels sur l'île de Tasmanie. Les habitants de Tasmanie n'était pas plus créatifs: à peine les prisonniers arrivés qu'ils décidèrent à leur tour d'envoyer les plus endurcis sur une île (Port Arthur) pour les réhabiliter.
Si seulement ça s'arrêtait là... même à Port Arthur, les dirigeants isolèrent les plus jeunes prisonniers sur une autre île a proximité (Point Puer). Au bras de l'état, un criminel, un vrai, pouvait faire Angleterre - Australie - Tasmanie - Port Arthur -Point Puer. En voilà une manière originales de se débarasser des problèmes!
Après cet arrêt, nous sommes retournés à la capitale Hobart pour rencontrer le cousin de Pauline. En bon Australien, il nous tout de suite invité à faire un BBQ. Au menu, saumon Tasmanien, steaks de kangourous et saucisses hot-dogs.
Pour ceux que ça intéresse, la viande de kangourou ressemble et goûte un peucomme de la viande de cheval. C'est pas mauvais du tout tant que la viande ne cuit pas trop. En plus, c'est très écolo de manger du kangourou... Ils produisent très peu de méthane, grandissent vite et on aide à réduire un problème de surpopulation.
On a ensuite consacré notre dernière journée à cajoler l'animal que l'on avait mangé la veille dans une ferme puis à faire l'ascension en voiture du Mont Wellington surplombant Hobart. La vue était géniale et c'était sur cette belle note que l'on terminait cette aventure en Tasmanie.
dimanche 17 mai 2009
Travaux sur le blogue!
Bon, je n'ai pas mis à jour le blogue pendant le dernier mois principalement par manque de temps. Noémie est arrivé il y a maintenant 3 semaines. Mes parents on fait un petit séjour un peu avant et ma session me demande de plus en plus de temps (parce que OUI je dois aussi étudier). J'essaie de rentabiliser mon temps au maximum et ce blogue en a souffert. Ah oui j'oubliais... mon ordinateur portable a aussi rendu l'âme avec toutes mes photos. Heureusement que j'avais un back-up sur une clef USB... euuhhh... en fait non... celle là, je l'ai perdu 2 semaines plus tôt.
J'ai énormément de choses à vous raconter mais pour ces raisons, elles devront attendre jusqu'au début de juin. J'enverrai un e-mail pour la reprise du blogue.
En attendant, je vous propose des adresses de autres blogues intéressants:
-celui du petit frère: http://qujingelbell.blogspot.com/
-et celui de Simon bellemare: http://steph-simon-asie.blogspot.com
J'ai énormément de choses à vous raconter mais pour ces raisons, elles devront attendre jusqu'au début de juin. J'enverrai un e-mail pour la reprise du blogue.
En attendant, je vous propose des adresses de autres blogues intéressants:
-celui du petit frère: http://qujingelbell.blogspot.com/
-et celui de Simon bellemare: http://steph-simon-asie.blogspot.com
jeudi 9 avril 2009
Road Trip Tasmanien! Part 2
Après avoir fait notre deuil de Strahan et dormi dans la belle ville de Queenstown, on a conduit jusqu'aux Cradle Mountains dans le Franklin-Gordon Wild Rivers National Park. Malheureusement, on s'est retrouvé dans d'épais nuages qui nous empêchaient de voir quoi que ce soit.
On a quand même grimper jusqu'au sommet d'une des montagnes avoisinantes à 1300m au dessus du niveau de la mer en espérant arriver au dessus des nuages. (le plateau ou on a stationné l'auto était à +1000m, donc c'était pas une si longue montée) Raté...
Notre prochaine étape était dans la deuxième plus grande de Tasmanie, c'est à dire Launceston. Rien de vraiment impressionant là-bas. L'auberge de jeunesse affilié à Hostelling International (les meilleurs habituellement) était pleine et on a du se trouver une alternative et c'est au deuxième étage d'un hotel irlandais que l'on a dormi. Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, mais ici tous les bars s'appellent des hotels pour une raison quelconque et tous ont des chambres dans les étages supérieurs. Alors traduit en québécois, on a bien dormi au deuxième étage d'un pub irlandais... va pour le sommeil réparateur.
Le lendemain, on s'est empressé de quitter la ville pour se diriger vers le village de Bicheno et le parc national de Freycinet. Après deux heures de routes sous la pluie, on traverse une autre petite chaîne de montagne et on arrive sur la côte. On y retrouve une magnifique plage de sable blanc complétement déserte et qui s'étend vers l'est et l'ouest jusqu'à l'horizon.
J'ai encore de la misère à croire la quantité de paysages différents que la Nature a réussi à squeezer dans cette toute petite île de Tasmanie. À chaque heure ou deux de route, on tombe sur quelque chose de diamétralement opposé à ce qu'on quitte. Avant d'arrêter à Bicheno connu surtout pour ses fameux pingouins qui se promène la nuit dans la ville, on a décidé de passer l'après-midi au parc national de Freycinet.
Une petite marche de 4-5 heures nous amenait sur une des 10 plus belles plages du monde: Wineglass beach. (bon, je sais que ces palmarès sont très valides, mais bon ils ont l'air de vraiment les prendre à coeur ici) Et pour tout vous dire, c'était pas méchant du tout comme endroit.
De retour à Bicheno vers 8h, on a eu la surprise d'apprendre que tous les restaurants sauf un avaient déjà fermés leur cuisine. Bien sûr, l'unique dépanneur était fermé aussi. On avait comme trop le choix. Le bon côté était que le resto avait vu sur la plage et sur les pingouins. Moi qui m'attendait à voir de gros manchots comme ceux du biodôme envahir la ville à la façon d'un film de série B comme "l'attaque des hommes-grenouilles". Je fus un peu déçu en les voyant. Il était à peine plus gros que mon poing fermé et avait peur de toute lumière. En fait, ça pouvait les rendre aveugles car ils ne sont pas capables de cligner des yeux. J'aime mieux les kangourous...
On a quand même grimper jusqu'au sommet d'une des montagnes avoisinantes à 1300m au dessus du niveau de la mer en espérant arriver au dessus des nuages. (le plateau ou on a stationné l'auto était à +1000m, donc c'était pas une si longue montée) Raté...
Notre prochaine étape était dans la deuxième plus grande de Tasmanie, c'est à dire Launceston. Rien de vraiment impressionant là-bas. L'auberge de jeunesse affilié à Hostelling International (les meilleurs habituellement) était pleine et on a du se trouver une alternative et c'est au deuxième étage d'un hotel irlandais que l'on a dormi. Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, mais ici tous les bars s'appellent des hotels pour une raison quelconque et tous ont des chambres dans les étages supérieurs. Alors traduit en québécois, on a bien dormi au deuxième étage d'un pub irlandais... va pour le sommeil réparateur.
Le lendemain, on s'est empressé de quitter la ville pour se diriger vers le village de Bicheno et le parc national de Freycinet. Après deux heures de routes sous la pluie, on traverse une autre petite chaîne de montagne et on arrive sur la côte. On y retrouve une magnifique plage de sable blanc complétement déserte et qui s'étend vers l'est et l'ouest jusqu'à l'horizon.
J'ai encore de la misère à croire la quantité de paysages différents que la Nature a réussi à squeezer dans cette toute petite île de Tasmanie. À chaque heure ou deux de route, on tombe sur quelque chose de diamétralement opposé à ce qu'on quitte. Avant d'arrêter à Bicheno connu surtout pour ses fameux pingouins qui se promène la nuit dans la ville, on a décidé de passer l'après-midi au parc national de Freycinet.
Une petite marche de 4-5 heures nous amenait sur une des 10 plus belles plages du monde: Wineglass beach. (bon, je sais que ces palmarès sont très valides, mais bon ils ont l'air de vraiment les prendre à coeur ici) Et pour tout vous dire, c'était pas méchant du tout comme endroit.
De retour à Bicheno vers 8h, on a eu la surprise d'apprendre que tous les restaurants sauf un avaient déjà fermés leur cuisine. Bien sûr, l'unique dépanneur était fermé aussi. On avait comme trop le choix. Le bon côté était que le resto avait vu sur la plage et sur les pingouins. Moi qui m'attendait à voir de gros manchots comme ceux du biodôme envahir la ville à la façon d'un film de série B comme "l'attaque des hommes-grenouilles". Je fus un peu déçu en les voyant. Il était à peine plus gros que mon poing fermé et avait peur de toute lumière. En fait, ça pouvait les rendre aveugles car ils ne sont pas capables de cligner des yeux. J'aime mieux les kangourous...
mercredi 8 avril 2009
Petite publicité pour Soul Travellers
Petite pause de blogue (remarquez que j'en fais pas mal ces dernier temps) pour faire de la publicité à mon vieil ami Séb. Avec son groupe de musique les Soul Travellers, il a enregistré quelques tounes dernièrement et on peut les écouter en ligne.
Je vous donne l'adresse de leur site : http://www.myspace.com/8soultravellers8. Vous devriez y jeter un coup d'oeil, ça vaut vraiment le coup.
Je vous donne l'adresse de leur site : http://www.myspace.com/8soultravellers8. Vous devriez y jeter un coup d'oeil, ça vaut vraiment le coup.
samedi 4 avril 2009
Road Trip Tasmanien! Part 1
Un road trip sans voiture, ca vaut pas grand chose. C'est donc avec empressement que nous sommes dirigé chez Hertz dès notre sortie de l'aéroport. On avait bien hâte de savoir dans quelle bolide on passerait une bonne partie de nos prochains jours et surtout s'il y avait assez de place pour ne pas se sentir trop coincé à 5. La chance nous a sourit et on a eu une upgrade (gratis bien entendu) pour une Toyota Aurion.
Je me suis donné le titre de co-pilote pour la première journée et donc c'est à gauche de notre chauffeur attitré Dennis que le voyage à commencé. "Reste sur la voie de gauche", "tourne court à gauche", "large à droite" que je répétais en prennant mon job à coeur et pour être certain de ne pas rencontrer personne. Au début, Dennis signalait chacun de nos tournants en faisant partir les wipers, c'était immanquable.
À bord de l'auto, on a devisé notre plan d'attaque: faire un tour complet de la Tasmanie en 4 jours dans le sens horaire. Voilà ce que ça ressemble sur une carte. Environ 1000 kilomètres de route pour traverser le pays e passant à travers d'incroyables parcs nationaux.
Notre premier arrêt était un parc national un peu au nord d'Hobart, le Mount Field National Park. On commence à marcher dans les sentiers puis on tombe dans une genre de forêt tropicale comme j'en avais jamais vu auparavant. (la photo ci-bas est mon arrière-plan en ce moment, je la trouve superbe)
C'était incroyable... une forêt d'eucalyptus géants et par géant, je parle d'arbres de plus de 60 mètres de haut et donc le plus grand faisait 80m (20+ étages). Les feux de forêts étant fréquents: de nombreux arbres ont été brulé et sont presque entièrement vides à l'intérieur mais ils se tiennent toujours debout et ont étonnament l'air en vie malgré tout.
On s'est rapidement aperçu qu'on avait pas quitté l'Australie quand on a appris sur un panneau que le parc habritait des "platipus" ou ornitorynthes. Saviez-vous qu'un platipus était vénimeux? Moi pas et comme avec toutes les bébittes habitant l'Australie, il fallait faire attention ou on mettait les pieds.
On est ensuite retourné à la voiture pour faire le reste du trajet vers Strahan avant que la noirceur arrive. Nos assurances ne nous permettant pas de conduire après la tombé de la nuit étant les grandes chances de frapper des animaux (Roos, wallabee, wombats ou diables) qui sont presque tous des animaux nocturnes.
En traversant le pays d'ouest en est, on passe d'un pays en quasi sécheresse à une immense forêt vierge qui est protéger héritage UNESCO. L'un est manque criant d'eau et l'autre reçoit plus de 2000 mm de pluie par année. C'est donc pour dire que le paysage changeait aux heures à notre plus grand plaisir. En plus, on a pu voir nos premiers kangourous vivants sur le bord de la route.
Pour Strahan, c'est fût râté. La nuit est arrivé avant. On a dû arrêter à la place dans la ville minière de Queenstown (2000 habitants), nommé selon le cousin Tasmanien de Pauline, au palmarès des villes les plus laides au monde, au deuxième rang en fait. Un village style Far West à la base d'une gigantesque montagne ou l'on ne retrouve presque plus de végétation à cause de la pollution des anciennes mines.
Sur la carte, c'était le nom le plus gros à l'est de la Tasmanie et pourtant, la ville semblait totalement morte. En fait, je crois que la ville survit uniquement sur les quelques touristes qui ne rendent pas jusqu'à Strahan.
Je me suis donné le titre de co-pilote pour la première journée et donc c'est à gauche de notre chauffeur attitré Dennis que le voyage à commencé. "Reste sur la voie de gauche", "tourne court à gauche", "large à droite" que je répétais en prennant mon job à coeur et pour être certain de ne pas rencontrer personne. Au début, Dennis signalait chacun de nos tournants en faisant partir les wipers, c'était immanquable.
À bord de l'auto, on a devisé notre plan d'attaque: faire un tour complet de la Tasmanie en 4 jours dans le sens horaire. Voilà ce que ça ressemble sur une carte. Environ 1000 kilomètres de route pour traverser le pays e passant à travers d'incroyables parcs nationaux.
Notre premier arrêt était un parc national un peu au nord d'Hobart, le Mount Field National Park. On commence à marcher dans les sentiers puis on tombe dans une genre de forêt tropicale comme j'en avais jamais vu auparavant. (la photo ci-bas est mon arrière-plan en ce moment, je la trouve superbe)
C'était incroyable... une forêt d'eucalyptus géants et par géant, je parle d'arbres de plus de 60 mètres de haut et donc le plus grand faisait 80m (20+ étages). Les feux de forêts étant fréquents: de nombreux arbres ont été brulé et sont presque entièrement vides à l'intérieur mais ils se tiennent toujours debout et ont étonnament l'air en vie malgré tout.
On s'est rapidement aperçu qu'on avait pas quitté l'Australie quand on a appris sur un panneau que le parc habritait des "platipus" ou ornitorynthes. Saviez-vous qu'un platipus était vénimeux? Moi pas et comme avec toutes les bébittes habitant l'Australie, il fallait faire attention ou on mettait les pieds.
On est ensuite retourné à la voiture pour faire le reste du trajet vers Strahan avant que la noirceur arrive. Nos assurances ne nous permettant pas de conduire après la tombé de la nuit étant les grandes chances de frapper des animaux (Roos, wallabee, wombats ou diables) qui sont presque tous des animaux nocturnes.
En traversant le pays d'ouest en est, on passe d'un pays en quasi sécheresse à une immense forêt vierge qui est protéger héritage UNESCO. L'un est manque criant d'eau et l'autre reçoit plus de 2000 mm de pluie par année. C'est donc pour dire que le paysage changeait aux heures à notre plus grand plaisir. En plus, on a pu voir nos premiers kangourous vivants sur le bord de la route.
Pour Strahan, c'est fût râté. La nuit est arrivé avant. On a dû arrêter à la place dans la ville minière de Queenstown (2000 habitants), nommé selon le cousin Tasmanien de Pauline, au palmarès des villes les plus laides au monde, au deuxième rang en fait. Un village style Far West à la base d'une gigantesque montagne ou l'on ne retrouve presque plus de végétation à cause de la pollution des anciennes mines.
Sur la carte, c'était le nom le plus gros à l'est de la Tasmanie et pourtant, la ville semblait totalement morte. En fait, je crois que la ville survit uniquement sur les quelques touristes qui ne rendent pas jusqu'à Strahan.
jeudi 26 mars 2009
À la recherche d'un chez soi (Part 2)
De retour du camp de surf, je me suis remis à la recherche d'un appartement. En même temps, je commençais mes premières activités du programme d'échange pour connaître ma nouvelle université et rencontrer les autres gens y faisant partis. En plus des rencontres pour organiser mes cours afin qu'ils soient tous approuvés à mon retour à Montréal, j'étais en surcharge de travail. (bien quoi? après 1 mois de voyage, c'était un choc!)
Après quelques autres journées à l'auberge de jeunesse et toujours pas d'appartement, j'ai laissé tomber mon idéal de logement. Oublions la commune avec tout plein d'australiens... et débutons la recherche d'autre option: une chambre dans un appartement tranquille et pas trop cher ou je ne passerais que mes nuits et mes soirées d'étude. Dès le lendemain, je trouvais un appartement avec 2 vietnamiennes (Linh et Yen) à 10 minutes à pied de mon école. Je vous avais dit que je reviendrais au Vietnam!
Avec ce problème de logement derrière moi, je pouvais me reconsacrer à l'Australie. Avec quatre nouveaux copains hollandais, on a décidé d'abandonner une partie de notre première semaine d'université pour aller visiter la Tasmanie.
Pourquoi la Tasmanie? Aucune idée... à cause du diable peut-être... ou les billets pas cher vers Hobart.... ou un moment de folie.... va pour la folie.
Ça ressemble à quoi la Tasmanie?
Après quelques autres journées à l'auberge de jeunesse et toujours pas d'appartement, j'ai laissé tomber mon idéal de logement. Oublions la commune avec tout plein d'australiens... et débutons la recherche d'autre option: une chambre dans un appartement tranquille et pas trop cher ou je ne passerais que mes nuits et mes soirées d'étude. Dès le lendemain, je trouvais un appartement avec 2 vietnamiennes (Linh et Yen) à 10 minutes à pied de mon école. Je vous avais dit que je reviendrais au Vietnam!
Avec ce problème de logement derrière moi, je pouvais me reconsacrer à l'Australie. Avec quatre nouveaux copains hollandais, on a décidé d'abandonner une partie de notre première semaine d'université pour aller visiter la Tasmanie.
Pourquoi la Tasmanie? Aucune idée... à cause du diable peut-être... ou les billets pas cher vers Hobart.... ou un moment de folie.... va pour la folie.
Ça ressemble à quoi la Tasmanie?
dimanche 22 mars 2009
Camp de surf
Avec le camp de surf "Waves", on a vraiment commençé notre intégration à la culture australienne. On partait le vendredi soir en autobus pour ensuite passer deux nuits dans un parc national au nord de Sydney et deux journées à surfer près de Seals Rock.
"G'morning mate"... On s'est fait réveiller par un de nos instructeurs. Vêtements de plage, teint doré et cheveux blonds comme brûlés par le soleil, il était l'archétype du surfeur quoi. Bon, je me lève tranquillement, va rejoindre les autres dans la salle à manger et me rend compte qu'il n'était pas seul. Presque tous les instructeurs ont les cheveux blonds mi-longs et ressemblent au cliché que l'on se fait des surfeurs.
Premier essai ce matin. Les vagues dépassent facilement le mètre, ce qui devrait être bon pour nos débuts mais elles nous frappent souvent et irrégulièrement à cause d'un vent de face (le pire que l'on pouvait avoir selon nos profs). L'objectif de la première journée était d'apprendre à se lever dans le remous des vagues. Ce fût beaucoup plus difficile que prévu et ce n'est qu'à la toute fin que j'ai vraiment réussi et ce seulement 3-4 fois.
Pendant notre dîner, j'ai aussi eu ma première recontre avec la faune très bizarre de l'Australie: le goanna. C'est un gros lézard d'environ 1 mètre (mais qui peut aller chercher dans les 2 mètres), ce qui m'a fait dire qu'il est de la famille des dragons. Rien de très méchant par contre, il se promenait d'un pas assez relax entre nous les surfeurs alors que l'on faisait une petite sieste.
La deuxième journée a été de loin meilleure pour le surf. Cette fois-ci, on avait un vent de dos et donc le rythme d'arrivé des vagues était plus constant et les vagues plus lentes à tomber. Cette fois, j'ai vraiment pu me lever sur la planche en quelques occasions et commencé à vraiment apprécier ce sport. Si ce n'était de mes épaules qui ne sont toujours pas à 100%, j'aurais considéré l'achat d'une planche de seconde main pour la session.
Nager contre les vagues, rouler sur le dos et se protéger avec la planche quand elle frappe pour ne pas se faire emporter, attendre "sa" vague, prendre son élan pour l'attraper et commencer des tonneaux dans l'eau parce que j'ai choisi une trop grosse pour mon talent. J'ai vraiment adoré!
"G'morning mate"... On s'est fait réveiller par un de nos instructeurs. Vêtements de plage, teint doré et cheveux blonds comme brûlés par le soleil, il était l'archétype du surfeur quoi. Bon, je me lève tranquillement, va rejoindre les autres dans la salle à manger et me rend compte qu'il n'était pas seul. Presque tous les instructeurs ont les cheveux blonds mi-longs et ressemblent au cliché que l'on se fait des surfeurs.
Premier essai ce matin. Les vagues dépassent facilement le mètre, ce qui devrait être bon pour nos débuts mais elles nous frappent souvent et irrégulièrement à cause d'un vent de face (le pire que l'on pouvait avoir selon nos profs). L'objectif de la première journée était d'apprendre à se lever dans le remous des vagues. Ce fût beaucoup plus difficile que prévu et ce n'est qu'à la toute fin que j'ai vraiment réussi et ce seulement 3-4 fois.
Pendant notre dîner, j'ai aussi eu ma première recontre avec la faune très bizarre de l'Australie: le goanna. C'est un gros lézard d'environ 1 mètre (mais qui peut aller chercher dans les 2 mètres), ce qui m'a fait dire qu'il est de la famille des dragons. Rien de très méchant par contre, il se promenait d'un pas assez relax entre nous les surfeurs alors que l'on faisait une petite sieste.
La deuxième journée a été de loin meilleure pour le surf. Cette fois-ci, on avait un vent de dos et donc le rythme d'arrivé des vagues était plus constant et les vagues plus lentes à tomber. Cette fois, j'ai vraiment pu me lever sur la planche en quelques occasions et commencé à vraiment apprécier ce sport. Si ce n'était de mes épaules qui ne sont toujours pas à 100%, j'aurais considéré l'achat d'une planche de seconde main pour la session.
Nager contre les vagues, rouler sur le dos et se protéger avec la planche quand elle frappe pour ne pas se faire emporter, attendre "sa" vague, prendre son élan pour l'attraper et commencer des tonneaux dans l'eau parce que j'ai choisi une trop grosse pour mon talent. J'ai vraiment adoré!
lundi 16 mars 2009
À la recherche d'un chez-soi
Ça devait être simple à mon arrivé à Sydney: je m'installerais dans une auberge de jeunesse, appelerait Nicolas et Laurence, leur raconterait et écouterait quelques histoire de voyage puis on commençerait sans plus d'attente à chercher un appartement pour ensuite pouvoir profiter de la ville.
Avant de poursuivre, il faut vous dire que les loyers à Sydney sont extraordinairement élevés. En général, pour l'équivalent de ce que je payerais à Montréal en 1 mois, ici on doit le payer par semaine. Par exemple, un appartement au centre-ville avec 8 personnes (4 par chambre) coûterait 150-250$ par semaine. À Bondi Beach, un autre endroit bien en vue, 250$ par semaine pour une chambre partagée avec une autre personne.
En regardant la carte de la ville, on avait choisi quelques quatiers situés entre nos 3 universités (parce qu'aucun de nous va à la même) comme "Surry Hills", "Chippendale", "Kensington" et "Redfern". Après quelques recherches, nous sont allés visiter un appartement à "Redfern" qui ne coûtait que 450$ par semaine divisé en trois. L'appartement était assez grand, avait accès à piscine, Gym, court de tennis, bbq et terrasse sur le toit, en plus d'un IGA (eh oui, même ici) et marchés frais à moins de 2 mins de marche. Même le centre-ville était étonnament proche (15 min)
Dès notre sortie de la visite, on était convaincu que c'était une perle et qu'on ne trouverait rien de mieux dans le court lapse de temps qu'on se donnait pour trouver un apart. Trop beau pour être vrai non?
On a donc commencé à faire des plans pour profiter de Sydney. Week-end de surf à Seals Rock, excursion en traversier jusqu'à la plage de Manly. Visite des environs de la baie de Sydney avec bien sûr sa fameuse Opéra.
Deux jours plus tards, on apprenait que "Redfern" était un des quartiers mal fâmé de Sydney, le quartier des aborigènes... (j'avais entendu parler qu'ils ne s'enduraient pas entre australiens et aborigènes, étonnant non?) "Redfern est le quartier qui a la moins bonne réputation auprès de la population qui le compare allégrement au Bronx à NY. Bon, je voyais bien l'exagération... mais on a même eu le dean de l'université à Laurence qui l'a pris à part pour lui conseiller de quitter le quartier au plus vite. Donc, c'était râté. On a refusé l'offre et on devait se remettre devant nos ordis pour chercher. Un peu frustré de la tournure des évènements, il fallait se changer les idées et c'est pourquoi on a quand même décidé de partir en week-end de surf à Seals Rock.
Avant de poursuivre, il faut vous dire que les loyers à Sydney sont extraordinairement élevés. En général, pour l'équivalent de ce que je payerais à Montréal en 1 mois, ici on doit le payer par semaine. Par exemple, un appartement au centre-ville avec 8 personnes (4 par chambre) coûterait 150-250$ par semaine. À Bondi Beach, un autre endroit bien en vue, 250$ par semaine pour une chambre partagée avec une autre personne.
En regardant la carte de la ville, on avait choisi quelques quatiers situés entre nos 3 universités (parce qu'aucun de nous va à la même) comme "Surry Hills", "Chippendale", "Kensington" et "Redfern". Après quelques recherches, nous sont allés visiter un appartement à "Redfern" qui ne coûtait que 450$ par semaine divisé en trois. L'appartement était assez grand, avait accès à piscine, Gym, court de tennis, bbq et terrasse sur le toit, en plus d'un IGA (eh oui, même ici) et marchés frais à moins de 2 mins de marche. Même le centre-ville était étonnament proche (15 min)
Dès notre sortie de la visite, on était convaincu que c'était une perle et qu'on ne trouverait rien de mieux dans le court lapse de temps qu'on se donnait pour trouver un apart. Trop beau pour être vrai non?
On a donc commencé à faire des plans pour profiter de Sydney. Week-end de surf à Seals Rock, excursion en traversier jusqu'à la plage de Manly. Visite des environs de la baie de Sydney avec bien sûr sa fameuse Opéra.
Deux jours plus tards, on apprenait que "Redfern" était un des quartiers mal fâmé de Sydney, le quartier des aborigènes... (j'avais entendu parler qu'ils ne s'enduraient pas entre australiens et aborigènes, étonnant non?) "Redfern est le quartier qui a la moins bonne réputation auprès de la population qui le compare allégrement au Bronx à NY. Bon, je voyais bien l'exagération... mais on a même eu le dean de l'université à Laurence qui l'a pris à part pour lui conseiller de quitter le quartier au plus vite. Donc, c'était râté. On a refusé l'offre et on devait se remettre devant nos ordis pour chercher. Un peu frustré de la tournure des évènements, il fallait se changer les idées et c'est pourquoi on a quand même décidé de partir en week-end de surf à Seals Rock.
Fin de l'aventure asiatique
Voilà. Mon aventure en sol asiatique a véritablement pris fin avec le Full Moon.
Bien que je suis resté encore 3 jours en Thailande et 1 autre à Hong Kong lors de mon transit vers l'Australie, j'avais retrouvé les sentiments d'impatience et d'excitation que j'avais avant de partir de Montréal. Ce n'était plus quelques jours en Asie mais bien quelques jours à attendre le départ vers Sydney.
J'en ai quand même profité pour faire le plein de soleil, finir mon livre (que j'avais à peine touché auparavant) et écrire quelques chroniques qui comme vous l'avez sûrement remarqué sont un peu en retard sur le moment qu'elles décrivent.
J'attendais aussi la fin de l'Asie pour changer la façon donc j'allais vous donner des nouvelles. J'arrête le système de chroniques journalières qui m'empêche d'être à jour et en commence un autre qui suivra mes voyages à travers l'Australie un peu moins rigoureusement.
Bien que je suis resté encore 3 jours en Thailande et 1 autre à Hong Kong lors de mon transit vers l'Australie, j'avais retrouvé les sentiments d'impatience et d'excitation que j'avais avant de partir de Montréal. Ce n'était plus quelques jours en Asie mais bien quelques jours à attendre le départ vers Sydney.
J'en ai quand même profité pour faire le plein de soleil, finir mon livre (que j'avais à peine touché auparavant) et écrire quelques chroniques qui comme vous l'avez sûrement remarqué sont un peu en retard sur le moment qu'elles décrivent.
J'attendais aussi la fin de l'Asie pour changer la façon donc j'allais vous donner des nouvelles. J'arrête le système de chroniques journalières qui m'empêche d'être à jour et en commence un autre qui suivra mes voyages à travers l'Australie un peu moins rigoureusement.
dimanche 15 mars 2009
Jour 30: Full Moon!
La nuit du "Full Moon" était une étape importante de notre voyage. Lors de l'organisation, c'était le moment que l'on avait choisi pour sonner la fin de notre périple. Du moins dans nos têtes parce que sur papier, il nous restait encore quelques journées avant de partir pour l'Australie.
Vers 11h00 du soir, après une sieste bien mérité, on a commencé nos préparatifs pour le Full Moon. On ne pouvait affronter cet évênement sans des peintures de guerre appropriées. Le problème par contre était de trouver le peintre...
On s'est débrouillé comme on pouvait et on a même pu découvrir les talents de Dan en dessin. Son requin était toute qu'une oeuvre d'art. Portant fièrement nos peintures fulorescentes, on a suivi le son de la musique jusqu'à la plage de Haad Rin.
Sur un kilomètre de plage, on avait le choix entre dix différents DJ et donc 10 types de musique différente qui allaient du House au Techno en passant par le Trance. Bon, je dois avouer que ce n'est pas ma musique préférée et c'est d'ailleurs pourquoi on s'est promené d'un endroit à l'autre toute la soirée.
La fête était beaucoup plus intéressante à regarder qu'à en faire parti. Des gens s'endorment sur la plage alors qu'autour d'eux dansent des dizaines de personnes et que la basse est assez forte pour faire trembler le sol. D'autres allument des feux d'artifices (toujours à côté de ceux endormis) et essaient tant bien que mal de bien les diriger vers le ciel. La plupart danse sans se préoccuper de grand chose sauf de se nourrir de temps en temps.
La soirée fût bien divertissante, pas autant que je l'aurais tot d'abord crû, mais l'on avait entendu tellement d'histoires à propos de cette soirée que c'était difficile de vraiment se laisser aller. Au final, c'est une expérience très intéressante mais ce n'est pas le genre qu'on recommence à chaque année et une fois est assez. (heureusement d'ailleurs parce que c'est un peu loin la Thailande)
Vers 11h00 du soir, après une sieste bien mérité, on a commencé nos préparatifs pour le Full Moon. On ne pouvait affronter cet évênement sans des peintures de guerre appropriées. Le problème par contre était de trouver le peintre...
On s'est débrouillé comme on pouvait et on a même pu découvrir les talents de Dan en dessin. Son requin était toute qu'une oeuvre d'art. Portant fièrement nos peintures fulorescentes, on a suivi le son de la musique jusqu'à la plage de Haad Rin.
Sur un kilomètre de plage, on avait le choix entre dix différents DJ et donc 10 types de musique différente qui allaient du House au Techno en passant par le Trance. Bon, je dois avouer que ce n'est pas ma musique préférée et c'est d'ailleurs pourquoi on s'est promené d'un endroit à l'autre toute la soirée.
La fête était beaucoup plus intéressante à regarder qu'à en faire parti. Des gens s'endorment sur la plage alors qu'autour d'eux dansent des dizaines de personnes et que la basse est assez forte pour faire trembler le sol. D'autres allument des feux d'artifices (toujours à côté de ceux endormis) et essaient tant bien que mal de bien les diriger vers le ciel. La plupart danse sans se préoccuper de grand chose sauf de se nourrir de temps en temps.
La soirée fût bien divertissante, pas autant que je l'aurais tot d'abord crû, mais l'on avait entendu tellement d'histoires à propos de cette soirée que c'était difficile de vraiment se laisser aller. Au final, c'est une expérience très intéressante mais ce n'est pas le genre qu'on recommence à chaque année et une fois est assez. (heureusement d'ailleurs parce que c'est un peu loin la Thailande)
dimanche 8 mars 2009
Jour 29: C'est bien mieux sous l'eau
On a passé la journée dans l'eau à regarder la vie aquatique près de l'île tropicale de Koh Tao. Merci à Sara et à sa caméra qui pouvait aller sous l'eau, on a pu prendre des photos magnifiques de notre excursion.
J'étais peu confiant de nager sans veste de sauvetage avec mes épaules qui ne sont pas à leur 100%.
Je l'ai enlevé quand même assez rapidement pour me permettre de plongé et m'approcher de ces coraux et de tous ces poissons exceptionnels que je découvrais.
Je n'avais jamais fais de snorkeling avant et ce fût une expérience inoubliable. Ça me donne le goût d'apprendre la plongée sous-marine pour mieux voir la grande barrière de corail à mon arrivée en Australie.
Maintenant il faut que je fasse une sieste. C'est la pleine lune cette nuit et je vais devoir être en forme.
J'étais peu confiant de nager sans veste de sauvetage avec mes épaules qui ne sont pas à leur 100%.
Je l'ai enlevé quand même assez rapidement pour me permettre de plongé et m'approcher de ces coraux et de tous ces poissons exceptionnels que je découvrais.
Je n'avais jamais fais de snorkeling avant et ce fût une expérience inoubliable. Ça me donne le goût d'apprendre la plongée sous-marine pour mieux voir la grande barrière de corail à mon arrivée en Australie.
Maintenant il faut que je fasse une sieste. C'est la pleine lune cette nuit et je vais devoir être en forme.
Jour 28: Les vertus du Tiger Balm
La nouvelle année chinoise ne me va vraiment pas. J'aurais peut-être dû donner de l'argent au temple en fin de compte pour m'assurer d'un minimum de chance. Je me suis levé ce matin avec des boutons rouges partout sur le corps et concentrés surtout au niveau des pieds. Je vous épargne la photo, c'est pas très classe.
Je vais faire un tour à la "clinique" où je me fais dire de ne pas être inquiet par le Thai qui parle anglais. (j'allais pas lui donner le titre de docteur quand même)
Bon, ça pourrait être pire... mais maudit que ça gratte! Il me fallait trouver le meilleur remède à cette démangeaison. Rien ne bat avoir les 2 pieds dans l'eau salée mais je pouvais pas passer la journée les pieds dans l'eau. C'est à ce moment qu'intervient le Tiger Balm, cette fameuse crème qui chauffe et qu'on utilise dans les chambres de hockey pour apaiser les mals musculaires. Voilà le truc: la crème chauffe tellement qu'on ne sent même plus les démangeaisons. Ça marche comme un charme.
Une fois ce petit épisode terminé (en fait... pas vraiment puisque ça va me gratter pour les 2 prochaines semaines), nous sommes allés se trouver un coin tranquille sur une des plages de l'île.
Je dois avouer que dès que la foule disparaissait, le paysage redevenait à l'image des cartes postales.
On a fini notre journée de plage en regardant le soleil se coucher au Esco"Bar". Je vous reviens demain pour notre excursion de plongée.
Je vais faire un tour à la "clinique" où je me fais dire de ne pas être inquiet par le Thai qui parle anglais. (j'allais pas lui donner le titre de docteur quand même)
Bon, ça pourrait être pire... mais maudit que ça gratte! Il me fallait trouver le meilleur remède à cette démangeaison. Rien ne bat avoir les 2 pieds dans l'eau salée mais je pouvais pas passer la journée les pieds dans l'eau. C'est à ce moment qu'intervient le Tiger Balm, cette fameuse crème qui chauffe et qu'on utilise dans les chambres de hockey pour apaiser les mals musculaires. Voilà le truc: la crème chauffe tellement qu'on ne sent même plus les démangeaisons. Ça marche comme un charme.
Une fois ce petit épisode terminé (en fait... pas vraiment puisque ça va me gratter pour les 2 prochaines semaines), nous sommes allés se trouver un coin tranquille sur une des plages de l'île.
Je dois avouer que dès que la foule disparaissait, le paysage redevenait à l'image des cartes postales.
On a fini notre journée de plage en regardant le soleil se coucher au Esco"Bar". Je vous reviens demain pour notre excursion de plongée.
dimanche 1 mars 2009
Jour 27: Ko Pha Ngan, en préparation du Full Moon Party
Ce matin, on se lève de bonne heure (5h15) pour s'envoler vers Koh Samui, une île dans le sud de la Thailande, à bord d'un coloré avion de Bangkok Airways. À notre arrivé au caroussel des baggages, la malchance me frappe encore. Mes baggages ont sauté dans le mauvais avion et sont partis vers Phuket.
Pourtant, mon sac a tout d'un sac normal, non? Perdre des baggages dans un vol domestique sans transit, c'est pousser un peu fort.
Après ce petit contre-temps, on embarque sur un bateau pour Koh Pha Ngan. On peut facilement compter entre 2 et 3 fois le nombre maximum de passagers que le bateau peut légalement transporter. Tous des touristes bien sûr. J'avais l'impression d'être sur un bateau d'immigrants clandestins qui attendent patiemment leur arrivé sur la terre promise.
Koh Pha Ngan a tout de l'île paradisiaque sauf le fait d'avoir des occupants tranquilles. À chaque pleine lune, l'île se remplit tranquillement de 10 000 à 25 000 backpackers qui ont entendu l'appel d'un des plus gros beach party du monde. Cette réputation est telle que les hôtels sur l'île n'ont aucune difficulté à remplir leurs chambres à des prix occidentaux et en demandant un minimum de 5 nuits. C'est donc pourquoi on va aussi passer les 5 prochaines journées sur cette île.
On attendait de la grande visite en soirée: Sara, une amie de McGill en échange à Singapoure venait nous rejoindre pour faire la fête. Et c'est ce qu'on a fait en suivant bien sûr une des traditions du Full Moon, c'est à dire de boire dans des sceaux de plastique (pour éviter trop de bouteilles cassées)
On a vite découvert que ce n'était pas la seule tradition dans cette île. Se couvrir le corps de peinture fluorescente en était une autre intéressante.
Mais, la palme revient au saut à la corde. J'aurais pu continuer un bon moment si seulement Dan avait pas fait tout raté. (Grrrr Dan!!)
Pourtant, mon sac a tout d'un sac normal, non? Perdre des baggages dans un vol domestique sans transit, c'est pousser un peu fort.
Après ce petit contre-temps, on embarque sur un bateau pour Koh Pha Ngan. On peut facilement compter entre 2 et 3 fois le nombre maximum de passagers que le bateau peut légalement transporter. Tous des touristes bien sûr. J'avais l'impression d'être sur un bateau d'immigrants clandestins qui attendent patiemment leur arrivé sur la terre promise.
Koh Pha Ngan a tout de l'île paradisiaque sauf le fait d'avoir des occupants tranquilles. À chaque pleine lune, l'île se remplit tranquillement de 10 000 à 25 000 backpackers qui ont entendu l'appel d'un des plus gros beach party du monde. Cette réputation est telle que les hôtels sur l'île n'ont aucune difficulté à remplir leurs chambres à des prix occidentaux et en demandant un minimum de 5 nuits. C'est donc pourquoi on va aussi passer les 5 prochaines journées sur cette île.
On attendait de la grande visite en soirée: Sara, une amie de McGill en échange à Singapoure venait nous rejoindre pour faire la fête. Et c'est ce qu'on a fait en suivant bien sûr une des traditions du Full Moon, c'est à dire de boire dans des sceaux de plastique (pour éviter trop de bouteilles cassées)
On a vite découvert que ce n'était pas la seule tradition dans cette île. Se couvrir le corps de peinture fluorescente en était une autre intéressante.
Mais, la palme revient au saut à la corde. J'aurais pu continuer un bon moment si seulement Dan avait pas fait tout raté. (Grrrr Dan!!)
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